Né en Nouvelle-Calédonie, Larry est sociologue de formation et aussi ceinture noir de Judo – 2ème Dan.
Depuis son plus jeune âge, ses passions ont toujours orienté ses choix. Amoureux de sports, le judo fut sa première école. Il adhère à l’« ASLN », son premier club, dès l’âge de 6 ans. Il passera également par les clubs « KAJU Paita » et l’ « AJCD », qui lui apprendront les rudiments du sport. Ces années de jeunesse sont bercées par le concept de « l’ikigai » et du « Bushido » qui le façonneront.
Il quitte le caillou dans les années 90, pour la ville universitaire de Toulouse. Il se formera à la philosophie et à la sociologie et décroche un DEUG dans ces matières. Chemin faisant, il s’oriente par la suite vers un master 2 en sociologie et anthropologie urbaine, spécialisée dans les relations interethniques.
Durant ces années, le judo occupe une grande partie de sa vie. Les deux principes de base du judo SEIRYOKU ZEN YO (utilisation efficace de l’énergie), JITA KYOEI (entraide et prospérité mutuelle) résume cette vie urbaine. Il adhère au Judo Olympia Gym de Toulouse et au Judo club des Mazades. Il obtient un brevet fédéral de Judo délivré par la FFJDA ainsi qu’un Brevet d’Etat Judo 1°degré. Dès lors, philosophie faisant, il animera des cours de judo auprès des plus jeunes. De retour au pays, il s’exercera au Bushido Judo Club de Nouméa et sera sélectionné pour les jeux du Pacifique.
Aujourd’hui, il est conseiller jeunesse et chef de projet de l’observatoire jeunesse, à la Direction de la jeunesse et des sports de Nouvelle-Calédonie. Passionné par son métier, il étudie l’ensemble des phénomènes relatifs à la jeune génération et participe à l’édification de son pays au travers d’engagements politiques, associatifs, ou autres.
Il peut être vu comme un original, c’est un artiste loquace au verbe décalé mais juste. Il est à la fois sportif, peintre, chanteur, ou encore poète, et tout cela camouflé sous son costume de sociologue et conduit par un cœur indigène. Il nous amène à reconsidérer notre vision du monde au travers de ses écrits in situ et de ses œuvres hétéroclites pour faire passer ses messages.
Et c’est donc tout naturellement qu’il troque son kimono pour des actions caritatives comme « Les Kimonos du Cœur ».